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| RESUME DU FILM : Un attentat meurtrier est commis dans un grand magasin new-yorkais. Son auteur se manifeste par téléphone à la police sous le nom de Simon, et menace d’en perpétrer d’autres si ses conditions ne sont pas respectées. Il exige que John McClane déambule dans Harlem en portant un écriteau d’homme-sandwich sur lequel est écrit «Je hais les Nègres». Jusqu’alors mis sur la touche, le policier est rappelé et s’exécute. L’inévitable, bien entendu, se produit : il est agressé par une bande de Noirs et ne doit son salut qu’à l’intervention d’un électricien du quartier, Zeus, qui du coup doit s’enfuir avec lui. Simon exige désormais que Zeus «le Samaritain» soit soumis aux mêmes épreuves que McClane, et ainsi s’instaure un jeu pervers et dangereux, qui va faire passer «une journée en enfer» aux deux héros malgré eux. | ||||||||||||||||||||||||||||||||||
INFOS : À la recherche d’un scénario pour le troisième volet des aventures du héros de PIÈGE DE CRISTAL et 58 MINUTES POUR VIVRE, John McTiernan (qui avait laissé la réalisation du second à Renny Harlin) et Bruce Willis optèrent pour celui de Jonathan Heinsleigh, intitulé «Simon says» en référence au jeu sadique auquel se livre le terroriste psychopathe (en France : «Jacques a dit»). Il s’est alors agi de conformer ce scénario original (les deux autres films étaient, du reste, tirés de romans) à l’esprit et au personnage de la saga «Die Hard» avec quelques modifications : Holly, l’épouse de McClane, n’apparaît plus ici, et le policier doit partager la vedette avec un autre héros involontaire, Zeus Carver. En revanche, l’action se déroule toujours pendant la période de Noël. Bruce Willis et Samuel L. Jackson figuraient déjà tous deux au générique de PULP FICTION de Quentin Tarantino. On entendait déjà le thème musical «When Johnny Comes Marching Home» dans DOCTEUR FOLAMOUR, de Stanley Kubrick (1963). |
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