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| RESUME DU FILM : Un attentat meurtrier vient d’avoir lieu contre la présence américaine en Arabie Saoudite. Peu après, dans le désert de Lybie, un commando américain enlève le cheik Ahmed Bin Talal, chef d’un groupe islamiste. À Brooklyn, malgré les tentatives de négociation d’Anthony Hubbard, le chef du service anti-terroriste du FBI, un groupe d’inconnus fait sauter un bus avec ses occupants. Hubbard s’interroge sur les motivations des terroristes, qui n’ont pas exprimé de revendication avant l’explosion. Il rencontre Elise Kraft, son homologue de la CIA, qui semble détenir des informations qu’il ne connaît pas. Elise est la maîtresse de Samir Nazhde, un Palestinien suspect, que les services de Hubbard viennent d’arrêter. Mais Elise révèle que Samir est un agent double chargé d’infiltrer les groupes extrémistes du Hammas. Sur son insistance, Hubbard le fait relâcher. Un nouvel attentat meurtrier est commis dans un théâtre de Broadway, puis une tentative de prise d’otages dans une école échoue grâce à l’intervention courageuse de Hubbard. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||
INFOS : À partir de l’attentat du World Trade Center le 23 février 1993 et la destruction du Federal Building d’Oklahoma City le 19 avril 1995, les auteurs imaginèrent la psychose qui pourrait s’emparer de l’Amérique si New York était victime d’une vague de terrorisme telle qu’en ont connu des capitales européennes comme Berlin, Londres et Paris. Le film fut accueilli de manière contradictoire par la critique, certains y voyant une dénonciation de la possible dérive fasciste des institutions américaines, d’autres comme un plaidoyer pro-islamiste ou anti-arabe ! C’était le troisième film tourné par Denzel Washington sous la direction d’Edward Zwick après GLORY (1989) – qui lui avait valu l’Oscar du meilleur second rôle – et À L’ÉPREUVE DU FEU (Courage Under Fire, 1996). Lynda Obst – parfois créditée Lynda Rosen Obst – était en 1998 l’une des productrices les plus en vue et les plus actives d’Hollywood. Elle débuta dans la profession en 1983 comme productrice associée de FLASHDANCE d’Adrian Lyne. Par la suite, elle participa à la production d’une douzaine de films dont, entre autres, NUITS BLANCHES À SEATTLE, UN BEAU JOUR, CONTACT, AINSI VA LA VIE… On a pu voir le Français Sami Bouajila dans BYE BYE de Karim Dridi (1995), ANNA OZ d’Éric Rochant (1996) et LE DÉMÉNAGEMENT d’Olivier Doran (1997). |
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