COMMENT EPOUSER UN MILLIONNAIRE ( HOW TO MARRY A MILLIONAIRE )
PAYS :
USA
Date de sortie : -----------
 
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GENRE :
COMEDIE
ANNEE :
1953
DUREE :
01 H 34
REALISATEURS :
JEAN NEGULESCO
ACTEURS :

Marilyn Monroe , Betty Grable, Lauren Bacall, William Powell, David Wayne, Rory Calhoun, Cameron Mitc, ...

RESUME DU FILM : Trois jolis mannequins new-yorkais, Schatze, Loulou et Pola, mettent leurs ressources en commun pour louer un somptueux appartement dans le seul but d'attirer des hommes riches et susceptibles de se marier. Schatze refuse les avances de Tom, un charmant garçon, mais sans le sou - du moins le croit-elle - et poursuit de ses assiduités Hanley un richissime quinquagénaire. Celui-ci invite le trio à une soirée et leur présente deux de ses amis. L'un d'eux, Brewster, emmène Loulou passer le week-end dans son pavillon de chasse, mais ils attrapent la rougeole. Remise sur pieds, la jeune femme s'initie au ski avec Eben qui habite un chalet voisin et l'épouse. Demandée en mariage par Merrill, Pola doit le rejoindre à Atlantic City, mais myope, elle se trompe d'avion. Placée par hasard à côté de Freddie, tout aussi myope qu'elle, elle sympathise avec lui et devient sa femme . . .

INFOS : Second film en Cinémascope de la Fox, après LA TUNIQUE, et première comédie tournée dans ce format, COMMENT ÉPOUSER UN MILLIONNAIRE met en présence trois comédiennes qui se sont chacune fait un surnom dans le cinéma : Lauren Bacall, " The Look " (le regard), Betty Grable, " The Legs " (les jambes) et Marilyn Monroe, " The Body " (le corps). Sur le plateau, Marilyn Monroe était toujours accompagnée de son professeur de comédie, son " coach ", Paula Strasberg, ce qui ne facilitait pas le travail comme le raconte Lauren Bacall dans son livre "Par moi-même" : "Marilyn était terrifiée, peu sûre d'elle; elle ne faisait confiance qu'à son coach et était toujours en retard... À la fin d'une prise, elle jetait un coup d'œil au coach qui se tenait derrière Jean Negulesco, quêtant son approbation. S'il secouait la tête en signe de dénégation, elle insistait pour une autre prise. Une scène était souvent tournée quinze fois et même davantage... Et pourtant, je ne pouvais pas en vouloir à Marilyn, il n'y avait pas une ombre de méchanceté en elle..."


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